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lundi 2 décembre 2002

Procédure stockée


PROCÉDURE STOCKÉE

Une procédure stockée ressemble à une fonction en delphi. Cette procédure est entreposée sur le serveur de base de données, le client peut l'appeler. Une procédure peut avoir 0 ou plusieurs paramètres et retourné 0 ou plusieurs valeurs. Une procédure stockée est compilée sur le serveur lorsqu'elle est créée. Une requête est compilée à chaque fois qu'elle est envoyée au serveur. Il y a quelques avantages à utiliser les procédures stockées:
  • Plus rapide, car elle est déjà compilée sur le serveur
  • Diminue le trafic réseau car seuls les paramètres et le nom de la requête transitent par le réseau
  • Partage des ressources, plusieurs programmes peuvent utilisé la procédure
  • facilitée de maintenance, la mise à jour de la procédure profite à tous les programmes

Syntaxe d'une procédure stockée


CREATE PROCEDURE name
[( param datatype [, param datatype ...])]
[RETURNS ( param datatype [, param datatype ...])]
AS
<procedure_body>;
<procedure_body> = [< déclaration_variables >]
< block>
< déclaration_variables> =
DECLARE VARIABLE var datatype;
[DECLARE VARIABLE var datatype; ...]
<block> =
BEGIN
< compound_statement>
[< compound_statement> ...]
END
< compound_statement> = {<block> | statement;}

Suppression d'une procédure stockée

La syntaxe de suppression de la procédure stockée est fort simple.
drop procedure nom_procedure;

Déclaration de variable

La déclaration d'une variable doit suivre la convention: <DECLARE VARIABLE nomVariable Type de donnée>. Les variables globales n'existent pas.

/*Déclaration de variable nécessaire à la procédure*/
DECLARE VARIABLE tmpChar CHAR(5);
DECLARE VARIABLE tmpInt integer;
DECLARE VARIABLE tmpNum NUMERIC(15,2);

Déclaration de variable

Condition

La syntaxe du if else... ressemble étrangement à celle présents sous delphi.
IF <Expression de la condition> THEN
  <code>
ELSE
  <code>
Dans l'expression de la condition, il est possible d'utiliser certain opérateur SQL
  • BETWEEN ... and ...
  • LIKE ...
  • IN (..., ..., ...
  • EXISTS (sous-requête)
  • ANY (sous-requête)
  • ALL (sous-requête)
  • IS NULL
  • IS NOT NULL

Boucle

Cet opérateur permet comme nous le savons d'exécuter du code une certaine quantité de fois
WHILE (<Expression de la condition>) DO
        <code>

Nous allons créer une table pour notre exemple.
 
CREATE TABLE personne
(
  nopersonne INTEGER NOT NULL,
  age    INTEGER NOT NULL,
  pays         CHAR(8)  NOT NULL,
CONSTRAINT PK_nopersonne PRIMARY KEY (nopersonne)
);


Imaginons maintenant que cette table renferme des milliers d'enregistrements et que nous désirons obtenir l'âge moyen des personnes vivant dans un pays donné. Il serait possible d'écrire la requête ci-dessous et de l'assigner à un ibquery, ibsql ou à un ibdataset.
 
select avg(age)from  personne where pays = :PPAYS


Maintenant regardons la solution avec une procédure stockée

create procedure GET_AGE (PPAYS CHAR(8))
returns (AVG_AGE DECIMAL(8,2))AS
DECLARE VARIABLE i integer;
begin
  WHILE (i <= 5) DO
  begin
    select avg(age)
    from personne
  where pays = :PPAYS
  into :AVG_AGE;
  IF (AVG_AGE = 0) THEN
       AVG_AGE = 1;
  i = i +1;
  end
end
 

Dans cette procédure stockée, le select ne retourne qu'une valeur, si plusieurs valeurs auraient été retournées, il
aurait fallu utilisé: FOR SELECT...DO

Notez que c'est la valeur de avg_age qui va être retournée. En utilisant le composant: IBStoredProc, vous n'avez qu'à renseignez la propriété database et transaction. Ensuite, vous allez voir toutes les procédures stockées dans la propriété StoredProcName, vous n'avez qu'à sélectionner celle que vous désirez. Dans notre exemple ça sera: GET_AGE. Il est possible de voir les paramètres d'entrée et de sortie de la procédure en cliquant dans la propriété Params du composant IBStoredProc. Lorsque nous voulons appeler la procédure stockée dans notre code delphi et obtenir la valeur de retour, il suffit de faire pour notre exemple:

var
  avgAge:float;
begin
  IBStoredProc1.ExecProc;  //IBStoredProc1 étant le nom du composant dans delphi
  avgAge := IBStoredProc.ParamByName('AVG_AGE').AsFloat; 
end;

Il est possible d'exécuter toute sorte de requêtes avec les procédures stockées. La procédure ci-dessous supprime
les personnes ayant l'âge passé en paramètre.

create procedure AGEINF18 (persage int) as
begin
  delete from personne
  where age = :persage;
end

On a vu rapidement l'utilisation et la création de procédure stockée. Une connaissance de programmation et 
de SQL facilite leur utilisation  et permet d'alléger le client.

samedi 30 novembre 2002

Trigger


TRIGGER

Un trigger est associé à une table ou vue et permet d'exécuter du code selon un évènement donné. Tout comme les procédures stockées, tout s'exécute sur le serveur. Le trigger n'est jamais appelé directement. C'est lorsque l'évènement auquel est associé le trigger survient, le code est alors exécuté. Le langage utilisé par la base de données peut être utilisé pour le trigger, point besoin d'être limité à du SQL. Il est donc possible d'effectuer des tâches très complexes très aisément en utilisant ce langage au lieu d'avoir à gérer de complexe et lourde requête SQL.

Il est donc possible de se passer des triggers, mais un plus grand effort sera nécessaire pour parvenir au même objectif. Un trigger est exécuté sur le serveur, il n'y a donc pas de trafic réseau qui est généré telle que lors de requête SQL. Cette centralisation permet que plusieurs applications puissent y avoir accès. Si un changement doit se faire, il n'est pas nécessaire de recompiler l'application. L'utilisation de cette technique peut alors s'avérer beaucoup plus rapide que son équivalent en SQL. Un trigger n'a aucun paramètre d'entré et de sortie.
Il est possible d'utiliser les triggers pour diverses raisons:
  • Gérer l'intégrité des données
  • Gérer les règles d'affaires
  • Sécurité
  • ...

Syntaxe d'un trigger

CREATE TRIGGER name FOR { table | view}
[ACTIVE | INACTIVE]
{BEFORE | AFTER} {DELETE | INSERT | UPDATE}
[POSITION number]
AS < trigger_body >
< trigger_body > = [< variable_declaration_list >] < block >
< variable_declaration_list > =DECLARE VARIABLE variable < datatype >;
[DECLARE VARIABLE variable < datatype > ;...]
< block > =
BEGIN
< compound_statement > [< compound_statement >...]
END
< compound_statement > = {< block > | statement;}

Il existe tel qu'on peut le voir certaines ressemblances avec la syntaxe des procédures stockées

Opérateur

Les conditions et les boucles sont identiques à celles qu'on a pu voir dans les procédures stockées
Un trigger peut être exécuté pour les évènements suivants
  • BeforeInsert
  • BeforeUpdate
  • BeforeDelete
  • AfterInsert
  • AfterUpdate
  • AfterDelete
Lors du tutoriel des Générateurs, nous avons rapidement vu le code d'un trigger
SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_CLIENT_GenId FOR CLIENT
ACTIVE BEFORE INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.NOCLIENT IS NULL ) THEN
    NEW.NOCLIENT = GEN_ID(TRIG_CLIENT_GenId,1);
END

Ce trigger permet automatiquement de renseigner la clé primaire de la table. Il n'est alors plus nécessaire
d'intervenir, Interbase le fait pour nous. Une telle approche permet d'éviter les erreurs en cas d'omission.
Création d'une table

create table tclient(
 noms char(12),
 prenom char(12),
 motpasse char(12)
 );

SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_CLIENT_GenId FOR CLIENT
ACTIVE AFTER INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.motpasse IS NULL ) THEN
    NEW.motpasse = 'tmp';
END

La création de cette table ainsi que la procédure stockée permet de mettre un mot de passe si aucun n'a été inclus.Il
est possible de faire appel à une procédure stockée ou un UDF dans un trigger

UDF

UDF signifie fonction définie par l'usager (user defined function). Ces UDF sont bien entendu exécutés sur le serveur, la majorité du temps, le langage utilisé est le c ou le c++. Il est possible d'utiliser d'autre langage. Dans les répertoires d'Interbase, il y a de nombreux exemples.

Les UDF sont utilisés pour ajouter des fonctionnalités non disponibles dans SQL.
Les UDF ont 2 défauts: lorsqu'une UDF est exécuté, aucun accès à la BD ne peut survenir (affecte interbase inférieur à 7). Le second est que si le besoin de changer de machine pour une quelques raisons, on doit installer tous les UDF avant de restaurer la sauvegarde de la bd.

Lorsqu'on créer une UDF, on doit garder à l'esprit qu'elle devrait être le plus simple possible. Il est tout à faire possible dans une UDF d'exécuter un programme ou de faire des insertions, suppression... mais une telle approche peut mettre diminuer significativement les performances du serveur de plus ça pourraient occasionner une congestion des transactions.
Interbase inclus plusieurs UDF dont:
  • lower: converti une chaîne de caractère en minuscule
  • strcat: concatène deux chaînes
  • substr: retourne une portion d'une chaîne
  • trim: enlève les espaces d'une chaîne
  • trunc: trunc une chaîne
  • sysdate: retourne la date du système
  • sqrt: retourne la racine carré d'un double
  • abs : retourne la valeur absolue d'un double

Création d'une UDF avec delphi

Nous allons créer une UDF qui retournera la taxe (7%) sur un chiffre passé en paramètre
  • Choisir l'expert dll
  • Ajouter une unité au projet
  • Sauvegarder l'unité sous le nom MathFct
  • Sauvegarder le projet sous le nom brudflib
L'unité MathFct à l'allure suivante
unit MathFct;

interface

function TaxeTps(var i:Double): Double; cdecl; export;

implementation

function TaxeTps(var i:Double): Double; cdecl; export;
begin
  result := i*0.07+i;
end;

end.

Voici maintenant le code du projet
library brudflib;

uses
  SysUtils,
  Classes,
  MathFct in 'MathFct.pas';

{$R *.res}

exports
  TaxeTps;

begin
end.

Notez la présence du exports. TaxeTps fait partie de cette section, elle pourra donc être utilisé par un autre programme.
Il aurait été possible dans l'unité MathFct d'avoir plusieurs fonctions, mais que seulement quelque unes soit accessible
de l'extérieur.Ne pas oublier que tous les paramètres dans une UDF sont passés par pointeur donc il ne faut pas oublier
de mettre var devant nos paramètres.

En exécutant le projet, une dll est créé brudflib.dll. Cette dll doit être placée dans le répertoire UDF d'Interbase, habituellement c'est: disqu:\Borland\InterBase\UDF\. Il faut par la suite déclarer cette fonction pour l'utiliser dans Interbase.

Syntaxe de la déclaration de l'UDF pour Interbase

Voici la syntaxe d'une UDF:
DEFINE EXTERNAL FUNCTION name [<datatype> | CSTRING (int)
[, <datatype> | CSTRING (int) ...]]
RETURNS {<datatype&gt; [BY VALUE] | CSTRING (int)}
ENTRY_POINT "<entryname>"
MODULE_NAME "<modulename>" ;

Déclarons maintenant la fonction à Interbase
Declare external function f_TaxeTps float
  returns float by value
  entry_point 'TaxeTps' module_name 'brudflib.dll';

Il est maintenant possible d'utiliser cette fonction dans Interbase. Nous pouvons donc effectuer ce genre de
requête:
select f_TaxeTps(12.5) from rdb$database

L'exécution de cette requête retournera bien attendu 13,375. Les fonctions ainsi créées peuvent être ensuite utilisées dans n'importe quelle requête. Imaginons que nous avons une table logicielle avec un champ prix. Nous pourrions connaitre le coût du logiciel après taxe en faisant: select f_TaxeTps(prix) from logiciel.

String

Jusqu'à maintenant, nous avons utilisé que des nombres, nous allons maintenant utilisé des chaînes de caractères. Les strings utilisés par Delphi, lui sont propres. Interbase ne les utilise pas. Nous allons donc être obligés d'utiliser la fonction PChar.

function MixStr(Incoming: PChar):PChar;cdecl; export;
var OutStr, IncomingStr: string;
    i, j: Integer;
begin
  IncomingStr := StrPas(Incoming);
  OutStr := '';
  while Length(IncomingStr) > 0
  do begin
       i := Random(Length(IncomingStr) - 1) + 1;
       OutStr := OutStr + IncomingStr[i];
       Delete(IncomingStr, i, 1);
     end;
  StrPCopy(Incoming, OutStr);
  result := Incoming;
end;

Tappez ce code sous votre outil de gestion de bd:
Declare external function f_MixStr cstring(64)
  returns cstring(64)
  entry_point 'MixStr' module_name 'brudflib2.dll';
select f_MixStr('linux') from rdb$database 
Vous devriez voir que les lettres du mot Linux ont changé de position.

Suppression

Il suffit de taper drop external function nom_de_la_fonction pour la supprimer de la bd. Pour notre fonction, ça serait:

drop external function f_MixStr;

jeudi 28 novembre 2002

Requête paramétrée


REQUÊTE PARAMÉTRÉE

Les requêtes paramétrées servent à effectuer des requêtes SQL dynamiques. Le contenu de la requête peut donc varier. C'est très utile lorsque la requête dépend de la saisie d'un utilisateur venant d'un textbox, maskedit... De plus, ça permet d'économiser de la bande passante ce qui n'est pas le cas avec un dblookupbox.

Dans cet exemple nous avons une table client qui contient les champs: nom, prénom, adresse, téléphone, nopermis. Après avoir tapé un numéro de permis de conduire (nopermis) l'information du client sera affichée dans la propriété SQL d'un SQLquery, ibquery... nous entrons par exemple

select NOM, NOPERMIS, PRENOM from CLIENT where nopermis = :nopermis

Cette requêtant étant dans la propriété SQL du ibquery. Le «:» devant nopermis signifie que c'est un paramètre. Il ne reste plus qu'à mettre la valeur du paramètre comme étant notre textbox, maskedit... J'effectue souvent cette opération soit après avoir cliqué sur un bouton ou après être sortie du composant en question.

procedure TfrmLocation.MaskEditExit(Sender: TObject);
begin
  datamodule.query.Active := False;
  datamodule.query.Params[0].AsString := MaskEdit.Text;
  datamodule.query.Active := True;
end;
 

Il est possible d'utiliser la propriété ParamByName au lieu de Params. Le risque d'erreur est plus grand avec Params
lorsqu'on a quelques paramètres. Il est plus difficile de se rappeler ce qu'est le Params[0], Params[1]... que de faire
référence directement à son nom.
Le code ci-dessous permet de voir comment effectuer la même chose, mais avec un ibSQL.

ibsTmp.Close;
ibsTmp.SQL.Clear;
ibsTmp.SQL.Add('select NOM, NOPERMIS, PRENOM from CLIENT where nopermis = :nopermis');
ibsTmp.ParamByName('nopermis').AsString := MaskEdit.Text;
ibsTmp.ExecQuery;


Si la requête ci-dessus nous retournait une valeur, on pourrait affecter ces valeurs à des tlabel.
 
lblNom.Caption := ibsTmp.FieldByName('nom').AsString;
lblPrenom.Caption := ibsTmp.FieldByName('prenom').AsString;
lblNoPermis.Caption := ibsTmp.FieldByName('nopermis').AsString;

samedi 23 novembre 2002

Premier programme Interbase


PREMIER PROGRAMME INTERBASE

Nous allons créer une petite application qui utilisera Interbase, elle permettra de nous familiariser avec les composants de Delphi.

DataModule

Démarrez Interbase ensuite, démarrez Delphi, créez un nouveau projet ensuite ajoutez un datamodule




Au lieu de mettre nos composants de base de donnée sur chaque forme qu'on crée, il est possible de les mettre tous sur un DataModule. On centralise nos composants, il est ainsi beaucoup plus aisé de gérer le tout.
Je vous rappelle ici notre schéma de table



Nous déposerons donc tous nos composants liés à notre bd sur ce DataModule.
Déposons 5 DataSource, 1 ibDataBase,5 ibDataset et ibTransaction sur le DataModule.
Le DataModule devrait ressembler à ceci après avoir mis tous les composants nécessaires dessus et leur avoir donnée leur nom. J'ai mis qu'une transaction pour IbdVille et IbdProvince, puisque nous allons effectuer leur transaction sur la même fiche. Le nom du DataModule est dmGestion et sera sauvegardé sous le nom datamodule.





Lorsque nous ajouterons des formulaires au projet, pour avoir accès au composant de base de donnée, il faudra ajouter datamodule dans le unit du formulaire.




Information des composants

Composant Propriété Valeur
idbdLocation DatabaseName E:\divers\exemple\Exemple1.gdb
idbdLocation LoginPrompt False
idbdLocation Params user_name=SYSDBA password=masterkey
dsVille DataSet ibdVille
dsProvince DataSet ibdProvince
dsVehicule DataSet ibdVehicule
dsClient DataSet ibdClient
dsLocation DataSet ibdLocation

Composant Propriété Valeur
ibdVille Database idbdLocation
ibdVille SelectSQL select * from VILLE
ibdVille InsertSQL insert into VILLE (NOMVILLE) values ( :NOMVILLE)
ibdVille DeleteSQL delete from VILLE where NOMVILLE = :OLD_NOMVILLE
ibdVille Transaction ibtAutres

Composant Propriété Valeur
ibdProvince Database idbdLocation
ibdProvince SelectSQL select * from Province
ibdProvince InsertSQL insert into Province (NOMProvince) values ( :NOMProvince)
ibdProvince DeleteSQL delete from Province where NOMProvince= :OLD_NOMProvince
ibdProvince Transaction ibtAutres

Composant Propriété Valeur
ibdVEHICULE Database idbdLocation
ibdVEHICULE SelectSQL select * from VEHICULE
ibdVEHICULE InsertSQL insert into VEHICULE (NOVEHICULE, MARQUE, ANNEE, KM) values (:NOVEHICULE, :MARQUE, :ANNEE, :KM)
ibdVEHICULE DeleteSQL delete from VEHICULE where NOVEHICULE = :OLD_NOVEHICULE
ibdVEHICULE RefreshSQL Select NOVEHICULE, MARQUE, ANNEE, KM from VEHICULE where NOVEHICULE = :NOVEHICULE
ibdVEHICULE ModifySQL update VEHICULE set NOVEHICULE = :NOVEHICULE, MARQUE = :MARQUE, ANNEE = :ANNEE, KM = :KM where NOVEHICULE = :OLD_NOVEHICULE and

Composant Propriété Valeur
ibdClient Database ibdbLocation
ibdClient SelectSQL select * from CLIENT
ibdClient Transaction ibtClient
ibdClient InsertSQL insert into CLIENT (NOCLIENT, NOM, PRENOM, ADRESSE, NOVILLE, NOPROVINCE, TELEPHONE, NOPERMIS, DATEEXPERATION, CODEPOSTAL) values (:NOCLIENT, :NOM, :PRENOM, :ADRESSE, :NOVILLE, :NOPROVINCE, :TELEPHONE, :NOPERMIS, :DATEEXPERATION, :CODEPOSTAL)
ibdClient DeleteSQL delete from CLIENT where NOCLIENT = :OLD_NOCLIENT
ibdClient RefreshSQL Select NOCLIENT, NOM, PRENOM, ADRESSE, NOVILLE, NOPROVINCE, TELEPHONE, NOPERMIS, DATEEXPERATION, CODEPOSTAL from CLIENT where NOCLIENT = :NOCLIENT
ibdClient ModifySQL update CLIENT set NOCLIENT = :NOCLIENT, NOM = :NOM, PRENOM = :PRENOM, ADRESSE = :ADRESSE, NOVILLE = :NOVILLE, NOPROVINCE = :NOPROVINCE, TELEPHONE = :TELEPHONE, NOPERMIS = :NOPERMIS, DATEEXPERATION = :DATEEXPERATION, CODEPOSTAL = :CODEPOSTAL where NOCLIENT = :OLD_NOCLIENT

Composant Propriété Valeur
ibdLocation Database ibdbLocation
ibdLocation SelectSQL select * from Location
ibdLocation Transaction ibtLocation
ibdLocation InsertSQL insert into LOCATION (NOLOCATION, NOCLIENT, NOVEHICULE, PRIX, DATE_EMPRUNT, DATE_RETOUR) values (:NOLOCATION, :NOCLIENT, :NOVEHICULE, :PRIX, :DATE_EMPRUNT, :DATE_RETOUR)
ibdLocation DeleteSQL delete from LOCATION where NOLOCATION = :OLD_NOLOCATION and
ibdLocation RefreshSQL Select NOLOCATION, NOCLIENT, NOVEHICULE, PRIX, DATE_EMPRUNT, DATE_RETOUR from LOCATION where NOLOCATION = :NOLOCATION
ibdLocation ModifySQL update LOCATION set NOLOCATION = :NOLOCATION, NOCLIENT = :NOCLIENT, NOVEHICULE = :NOVEHICULE, PRIX = :PRIX, DATE_EMPRUNT = :DATE_EMPRUNT, DATE_RETOUR = :DATE_RETOUR where NOLOCATION = :OLD_NOLOCATION

Composant Propriété Valeur
ibtAutres DefaultDatabase idbdLocation
ibtVehicule DefaultDatabase idbdLocation
ibtClient DefaultDatabase idbdLocation
ibtLocation DefaultDatabase idbdLocation

Ajoutez dans la propriété params de chaque transaction le code suivant
read_committed
rec_version
nowait

Ce code permettra de voir les valeurs validées par les autres transactions

Générateur

Comme je l'ai mentionné plutôt, chaque table a un champ unique et qu'il ne peut être nul. Nous utilisons un générateur pour incrémenter cette valeurs. Puisque que nous connaissons pas la valeur des champs uniques devant être inséré, nous devons mettre la propriété required de ces champs à false. Dans l'évènement AfterOpen de chaque ibDataSet, faudra donc mettre la propriété de son cham unique à false.
Exemple
  • Sélectionner ibdVille
  • Aller dans l'inspecteur d'objet
  • Sélectionner l'onglet Évènement
  • Cliquer sur AfterOpen
  • Entrer le code suivant
DataSet.FieldByName('NOVILLE').Required := False;
L'opération prédente doit être effectué pour chaque ibDataset, il suffit de remplacer le champ NOVILLE, par le champ unique du dataset.

Formulaire

Villes et provinces

Nous allons maintenant créer les formlaires nécessaires pour l'application. La première forme sera celle qui permettra de naviguer entre les formes. Nous parlerons plus en détails du TDBLookupListBox dans le prochain chapitre.













Composant Propriété Valeur
DBLookupListBox1 Name dblcVille
dblcVille ListSource dmGestion.dsVille
dblcVille ListField NOMVILLE
dblcVille KeyField NOVILLE
DBLookupListBox2 Name dblcProvince
dblcProvince ListSource dmGestion.dsProvince
dblcProvince ListField NOMPROVINCE
dblcProvince KeyField NOPROVINCE
Edit1 Name edtVille
Edit2 Name edtProvince

Ajout et suppresion

Dans ce formulaire, nous n'avons pas utilisé de dbnavigator. De cette façon, on pourra apprendre commet on fait pour ajouter et effacé manuellement.
Avant d'ajouter, on va regarder s'il existe une donnée ayant la même valeur que l'on désire insérer. Cette opération sera effectuée grâce à la méthode locate du ibDataset. Le code suivant doit être ajouté dans l'évènement onclick du bouton ajouter (ville).

if not(dmGestion.ibdVille.Locate('NomVille',edtVille.Text,[])) then
  begin
    dmGestion.ibdVille.Append;
    dmGestion.ibdVille.FieldValues['NomVille'] := edtVille.Text;
    dmGestion.ibdVille.Post;
    edtVille.Text := '';
  end;

Append, insère un enregistrement vide. Ensuite on met la valeur du edit box dans le
champ Ville. Finalement, post envoit les données à Interbase.
Il faudra aussi ajouté ce code pour les provinces.
Maintenant pour effacer, il sélectionnant un item, ce dernier devient actif. Il reste plus qu'à faire appel à la méthode delete du ibDataset

if dblcVille.SelectedItem <> '' then
    dmGestion.ibdVille.Delete;

Transcation

Les transactions ont déjà été abordées précédemment. La transaction est déjà active. Lorsqu'on quitte la fiche, on tente de sauvegarder sinon on revient dans l'état initial. Il est préférable d'utiliser le CommitRetaining et le RollbackRetaining pour des raisons de performances puisque la transaction demeure ouverte. En employant commit et Rollback, la transaction doit se fermer et ouvrir de niveau ce qui pas nécessaire pour une simple mise à jour. Adapter ce code pour les autres transactions et ajouter le dans l'évènement OnClose de chaque form.

try
    dmGestion.ibtAutres.CommitRetaining;
  except
    dmGestion.ibtAutres.RollbackRetaining;
  end;

Véhicule

 


Composant Propriété Valeur
DBNavigator1 Name dbnVehicule
dbnVehicule DataSource dmGestion.dsVehicule
dbEdit1 Name dbeMarque
dbeMarque DataSource dmGestion.dsVehicule
dbeMarque DataField Marque
dbEdit2 Name dbeKm
dbeKm DataSource dmGestion.dsVehicule
dbeKm DataField Km
dbEdit3 Name dbeAnnee
dbeAnnee DataSource dmGestion.dsVehicule
dbeAnnee DataField Annee

Client

 


Champ persistent

On doit entrer un numéro de téléphone ainsi qu'un code postal pour un client. Ces données ont un certain format pour qu'il soit valide. C'est là que les champs persistent entre en action. Il est possible de
  • mettre des mises en forme particulière
  • d'appliquer des contraintes de saisi
  • d'effectuer des validations
En effectuant de telle opération au niveau client, on évite du traffic réseau et on personnalise d'avantage notre application.
Pour ajouter des champs persistent, il faut faire un clique droit de la souris sur notre ibdClient




Une image comme celle-ci apparaitra





Ensuite on fait un clique droit de la souris et on choisis l'option "Ajouter tous les champs"

Tous les champs sont maintenant ajoutés




Nous allons maintenant changer la mise en forme du champ téléphone.
  • Sélectionner le champ téléphone
  • Cliquer dans sa propriété EditMask
La fenêtre suivant s'ouvrira


La section du masque permet de définir les critères de saisi possible. Aller dans l'aide pour de plus ample renseignement sur les codes disponibles. Si vous ne voulez pas sauvegardé les caractère unilatéraux (dans l'exemple de tel caractère sont ()-, décochez la case "Enregistrer les caractères unilatéraux. Ensuite vous pouvez tester votre masque dans la section définie à cet effet. 

Faire de même pour le code postal.



Il est aussi possible d'effectuer des validations sur des champs, la propriété validate remplit cette fonction.

Composant Propriété Valeur
DBNavigator1 Name dbnClient
dbnClient DataSource dmGestion.dsClient
dbEdit1 Name dbeNom
dbeNom DataSource dmGestion.dsClient
dbeNom DataField NOM
dbEdit2 Name dbePrenom
dbePrenom DataSource dmGestion.dsClient
dbePrenom DataField PRENOM
dbEdit2 Name dbeAdresse
dbeAdresse DataSource dmGestion.dsClient
dbeAdresse DataField Adresse

TDBLookupComboBox

Je prends un petit moment pour vous expliquer d'avantage ce composant. Vous l'avez surement remarqué, dans la table client, il y a les champs noville et noprovince. Ces champs font naturellement références aux tables. Il faut donc trouver un moyen d'avoir le noville de la table Ville et d'envoyer cette valeur dans le noville de Client. Il est possible de le faire avec les TDBLookupComboBox.




On remplira le TDBLookupComboBox comme d'habitude.

Composant Propriété Valeur
DBLookupComboBox1 Name dblcVille
dblcVille ListSource dmGestion.dsVille
dblcVille ListField NOMVILLE
dblcVille KeyField NOVILLE

La propriété ListSource permet d'identifier la source de donnée qui seront affiché dans le contrôle. Nous utilisons le ibDataSet de Ville qui fait référence à notre table Ville.
La propriété ListField identifie le champ qui sera affiché dans le DBLookupComboBox. Nous affichons le nom de la ville. Sachez qu'il est aussi possible d'afficher plus valeur, il suffit de les séparer par un ";".

La propriété KeyField identifie le champ auquel sa valeur sera envoyée au datafield. Ce champ a la valeur NoVille car dans notre table Client nous y faisons référence grace à noville.

Composant Propriété Valeur
dblcVille DataSource dmGestion.dsClient
dblcVille DataField NoClient
DataSource représente la table qui va reçevoir la valeur du champ noville (propriété KeyField). dans notre cas c'est le dataset Client.

Finalement le champ DataField, représente le champ du dataset Client qui reçevra la valeur de la propriété KeyFiel. Cette valeur est noclient

Location



Un programme montrant les acquis est disponible ici.
Quelques éléments du programme sont manquants, vous pouvez les ajouter et compléter votre formation.

mercredi 24 juillet 2002

Composant Ibx


COMPOSANT IBX

IbTable

Ce composant encapsule une table dans une base de donnée. Il est souvent utilisé pour migrer plus aisément du bde à Interbase. Puisque Interbase est orienté client/serveur, les IbTable ne devraient pas être utilisé.

IbQuery

Ce composant permet d'exécuter des instructions SQL. On peut ainsi accéder à plusieurs tables simultanément.

IBUpdateSQL

Ce composant met à jours des données en lecture seule. Ce composant est utilisé conjointement avec un IbQuery ou IbDataset. Il permet d'insérer, mettre à jour, effacé et de rafraichir un ensemble de donnée qui ne peut être modifié habituellement. Ces opérations peuvent être générées automatiquement en effectuant un clique droit sur le composant.

IBDataset

Ce composant rassemble les caractéristiques d'un IbQuery et d'un IBUpdateSQL. Il est donc possible de récupérer des données, de mettre à jour des données, de supprimer des données et de rafraîchir des données

IbSQL

Ce composant permet d'exécuter des instructions SQL. On peut ainsi accéder à plusieurs tables simultanément. Ce composant ne peut être lié à des composants orienté donnés tel que dbedit, dbgrid... Il faudra alors prendre les valeurs retournées (pour un select) et l'affecter à un composant. Il est possible de faire exécuter à peu près n'importe commande SQL avec ce composant. Ce composant est plus rapide que les autres dû au fait qu'il n'offre pas d'interface orienté donné. Ce composant est unidirectionnel. Il faut donc ré exécuter la requête pour retourner au début des enregistrements. (pour un sélect).

IBStoredProc

Ce composant encapsule une procédure stockée sur un serveur Interbase. Une telle procédure ressemble à une fonction en pascal. On lui passe des paramètres et nous renvois un résultat. Elle est exécutée sur le serveur, ce qui allége le traffic réseau.

IBDataBase

Ce composant encapsule une connexion à Interbase. Toute application désirant se connecté à Interbase doit en posséder un.

IBTransaction

Ce composant fournit des transactions sur une connexion sur la base de donnée. Il est conseillé dans avoir un pour chaque composant exécutant des requêtes sur Interbase. On isole ainsi nos transactions, il est plus aisé de revenir en arrière si un problème survient lors d'un commit.

IBClientDataSet

Ce composant regroupe en fait un IBDataset et un DatasetProvider afin de retrouver des données et d'effectuer des mises à jour. Ce composant est très utile si vous désirez créer une application n-tiers.

Quelques-uns de ces composants seront utilisés dans notre programme afin de mieux les comprendre

samedi 13 juillet 2002

Intitiation à Interbase


INITIATION

Avant de pouvoir effectuer ce tutoriel adéquatement, il faudra que vous ayez installé Interbase Server et le client ainsi que ibconsole sur votre ordinateur. Les composants ibx sont aussi nécessaire. J'ai utilisé Interbase 6.01 disponible gratuitement chez Borland et aussi Ibconsole disponbile au même endroit.

Ibconsole

Ibconsole permet de gérer et de maintenir Interbase server, il vous permet d'exécuter toutes commandes SQL. Tout se fait à l'aide d'une interface graphique fort conviviale.

Histoire d'Interbase

Interbase existe depuis le millieu des années 80. La fiabilité et la puissance de cette basse de donnée, ont fait sa renommée. Borland a ouvert ses sources en l'an 2000. Le serveur est disponible sous Windows, Linux et quelques Unix. Il est même possible de le faire fonctionner sous MacOS X. Peu de ressource et d'espace disque sont nécessaire au fonctionnement d'Interbase. Nokia, Motorola, Boeing... sont quelques unes des nombreuses compagnies qui utilisent cette base de donnée.

Préparation


Démarrer Interbase manager, l'icone Interbase Guardian apparaîtra dans la barre des tâches en bas à droite.

Démarrer Ibconsole,



cliquer ensuite sur le menu Server et ensuite register




Entrer SYSDBA dans la section <username> et masterkey dans la section <password> appuyer ensuite sur le bouton Ok.
L'image ci-dessous apparaîtra



Cliquer sur le +, différentes sections seront affichées. Sélectionner database, faites un clique droit de la souris et appuyer sur Create Database...





Entrer le nom d'alias et l'emplacement souhaité pour la base de donnée


Notez bien que le dialecte 1 et 2 ne devrait plus être utilisé. En dialecte 3, on doit déclarer nos champs de type TimeStamps si on désire avoir la date et heure (TDateTime). Si tout c'est bien déroulé, vous verrez l'écran ci-dessous apparaître.






Maintenant, vous pouvez créer des tables, générateur, trigger...
J'utiliserai un exemple de location de voiture réduit à l'essentiel afin de mieux vous faire comprendre l'utilisation d'Interbase grâce à delphi. Cet exemple sera utilisé tout au long de ce tutoriel.
Je vous invite à parfaire vos connaissances en SQL car je n'expliquerai pas en détail les commandes SQL effectuées. Vous pouvez vous renseigner sur le sujet à l'aide des sites que voici:
En cliquant sur l'onglet interractive SQL sous ibconsole et en allant dans le menu aide, vous avez un guide complet SQL.

Création d'une base de donnée

Notre exemple utilisera cinq tables.
Voici le diagramme de tables



Démarrer ibconsole, appuyer sur Interactive SQL. Entrer les valeurs suivantes
create table CLIENT (
NOCLIENT             INTEGER      not null,
NOM                  VARCHAR(30),
PRENOM               VARCHAR(30),
ADRESSE              VARCHAR(25),
NOVILLE              INTEGER,
NOPROVINCE           INTEGER,
TELEPHONE            VARCHAR(10),
NOPERMIS             VARCHAR(25),
DATEEXPERATION       VARCHAR(6),
CODEPOSTAL           VARCHAR(6),
constraint PK_CLIENT primary key (NOCLIENT)
);

create table LOCATION (
NOLOCATION           INTEGER not null,
NOCLIENT      INTEGER,
NOVEHICULE           INTEGER,
PRIX                 DECIMAL,
DATE_EMPRUNT         DATE,
DATE_RETOUR          DATE,
constraint PK_LOCATION primary key (NOLOCATION)
);

create table VEHICULE (
NOVEHICULE           INTEGER      not null,
MARQUE               VARCHAR(25),
ANNEE                INTEGER,
KM                   INTEGER,
constraint PK_VEHICULE primary key (NOVEHICULE)
);

create table VILLE (
NOVILLE              INTEGER                        not null,
NOMVILLE             CHAR(25)                       not null,
constraint PK_VILLE primary key (NOVILLE)
);

create table PROVINCE (
NOPROVINCE           INTEGER                        not null,
NOMPROVINCE          CHAR(25)                       not null,
constraint PK_PROVINCE primary key (NOPROVINCE)
);
Nous ajoutons ensuites les contraintes
alter table CLIENT
   add constraint FK_CLIENT_REFERENCE_VILLE foreign key (NOVILLE)
      references VILLE (NOVILLE);

alter table CLIENT
   add constraint FK_CLIENT_REFERENCE_PROVINCE foreign key (NOPROVINCE)
      references PROVINCE (NOPROVINCE);
      
alter table LOCATION
   add constraint FK_LOCCLIENT_REFERENCE_LOC foreign key (NOCLIENT)
      references CLIENT (NOCLIENT);
      
alter table LOCATION
   add constraint FK_LOCATION_REFERENCE_VEHICULE foreign key (NOVEHICULE)
      references VEHICULE (NOVEHICULE);

Toutes les contraintes ainsi que les tables sont créées. La prochaine étape est la création des générateurs.

jeudi 11 juillet 2002

Générateur dans Interbase


GÉNÉRATEUR

Les générateurs sont employés afin que chaque enregistrement soit unique. Sous Paradox, le type de donnée employé pour effectuer cette opération est autoinc. Puisque Interbase est orienté client/serveur, c'est le serveur qui doit créer la valeur et non le client. Si la valeur était créée au niveau client, il deviendrait alors possible d'avoir plusieurs champs avec la même valeur.

Un tel comportement doit être évité dans une architecture telle que celle d'Interbase. À chaque insertion d'une valeur dans une table un champ utilisé par un générateur sera incrémenté.

Nous continuer avec l'exemple du chapitre précédent. Nous allons créer 5 générateurs, 1 par table.

Création de générateur

La syntaxe est CREATE GENERATOR nom générateur
Dans la table client, nous avons un champ noclient, ce champ est unique à chaque client. Il ne peut donc y avoir deux valeurs identiques. Nous devons donc créer un générateur pour ce champ. Pour cette table il suffira de faire

CREATE GENERATOR CLIENT_GenId;

La création des autres générateurs se fera par
CREATE GENERATOR LOCATION_GenId;
CREATE GENERATOR VEHICULE_GenId;
CREATE GENERATOR VILLE_GenId;
CREATE GENERATOR PROVINCE_GenId;
 

J'ai l'habitude de rajouter _GenId afin de savoir plus aisément que c'est un générateur.
Il est plus facile de le reconnaître dans le code, si on doit l'utiliser.

Trigger

Nous utiliserons les triggers lors de l'évènement "before insert" afin incrémenter automatiquement les clé primaires. En laissant ce travail à Interbase, nous réduisons les erreurs possibles pouvant être faites par les programmeurs. Le code ci-dessus permettra de créer tous les triggers nécessaire au projet.

SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_CLIENT_GenId FOR CLIENT
ACTIVE BEFORE INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.NOCLIENT IS NULL ) THEN
    NEW.NOCLIENT = GEN_ID(CLIENT_GenId,1);
END


SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_VILLE_GenId FOR VILLE
ACTIVE BEFORE INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.NOVILLE IS NULL ) THEN
    NEW.NOVILLE = GEN_ID(VILLE_GenId,1);
END

SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_LOCATION_GenId FOR LOCATION
ACTIVE BEFORE INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.NOLOCATION IS NULL ) THEN
    NEW.NOLOCATION = GEN_ID(LOCATION_GenId,1);
END

SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_PROVINCE_GenId FOR PROVINCE
ACTIVE BEFORE INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.NOPROVINCE IS NULL ) THEN
    NEW.NOPROVINCE = GEN_ID(PROVINCE_GenId,1);
END

SET TERM ^;
CREATE TRIGGER TRIG_VEHICULE_GenId FOR VEHICULE
ACTIVE BEFORE INSERT AS
BEGIN
  IF ( NEW.NOVEHICULE IS NULL ) THEN
    NEW.NOVEHICULE = GEN_ID(VEHICULE_GenId,1);
END

Conseil

Puisque nous utilisons les triggers et que nos clés primaires (noclient, noville...) ne peuvent être nulles, il est possible de réduire le trafic réseau. Au niveau client, nous allons mettre la propriété Required des dataset, query... de nos clés primaire à false. Cette technique va être prochainement expliquée. Ce conseil m'a été donné par Sylvain James.

Sylvain James a créé un utilaire pour automatiser la création des générateurs et trigger, vous pouvez le télécharger ici